- 21 juin
- Ateliers et jeux participatifs
- Activités pédagogiques
Fresque de la forêt avec Fibois

La Fresque de la Forêt proposée par Fibois Île-de-France est un outil pédagogique et participatif qui invite le public à explorer les grands enjeux liés à la filière forêt-bois francilienne. À travers un jeu de cartes structuré en plusieurs lots — quiz, services rendus, enjeux, solutions et actions — les participants découvrent les multiples visages de cette filière : la diversité des forêts publiques et privées, les services écosystémiques qu’elles rendent, le rôle croissant du bois dans la construction ou encore le développement du bois énergie et la richesse des métiers qui y sont associés.
Cette fresque repose sur une approche claire et engageante, construite autour des trois piliers de la multifonctionnalité des forêts : environnemental, économique et social. Elle permet de mieux comprendre comment concilier la préservation des écosystèmes forestiers avec les usages humains, dans une vision durable et partagée de nos forêts franciliennes.
- Point de rendez-vous au parc du château de Fontainebleau
- Événement gratuit sur inscription sur le lien de la billetterie
Étendu au-delà du dénivelé du bassin des Cascades, le parc marquait autrefois – à l’est – les limites du domaine royal. Depuis le village d’Avon, il était traversé par la principale voie d’accès au château. Sa configuration actuelle, l’organisation du réseau de cascatelles et d’allées en étoile, résulte de la création, sous Henri IV, d’un grand canal long de près de 1200 mètres (1606-1609) pour 40 mètres de large. Planté initialement de plus de soixante mille arbres où croissaient les rangées de peupliers blancs, les chênes et les arbres fruitiers, ce « parc fermé » et son canal étaient la fierté du roi, qui en suivit le chantier. En 1609, il fallut plus d’une semaine pour le remplir et, dès l’automne, le roi y naviguait.
L’harmonie qui se dégage de cet ensemble résulte de la volonté des souverains de s’inscrire dans la continuité de leurs prédécesseurs. Cette succession de scénographies architecturales se déploie le long de jardins dont la conception générale fut entièrement revue au cours du XIXe siècle : le jardin de Diane et le jardin Anglais adoptèrent des styles paysagers à l’anglaise. Le Grand Parterre classique d’André Le Nôtre (1660-1664), et ses 14 hectares de jardin à la française, quant à lui, offre une expérience de l’espace et des perspectives totalement différentes. Il est prolongé, au-delà du bassin des Cascades, par un long parc que traverse, dans toute son étendue, le grand canal d’Henri IV.